-
Ma première fois
Par gourmandecorporelle dans Accueil le 5 Janvier 2018 à 12:21Je me lance dans le difficile exercice de l’écriture, je demande donc votre bienveillance et votre compréhension. Vos critiques cordiales et sincères me feront progresser dans cet exercice.
Ma première fois.
Je vivais paisiblement chez mes parents une vie tranquille, je sortais peu, j’avais bien échangé quelques baisers avec différents petits copains au cours de courtes relations mais je n’avais encore jamais connu le grand frisson.
Cette année là mes parents m’avaient inscrite pour faire la conduite accompagnée à des cours d’auto école.
Mon moniteur, un jeune homme qui venait d’avoir son diplôme était vraiment séduisant. J’adorais son regard sombre et profond. Mais je ne pensais pas à ça, mon esprit était plus préoccupé par mes cours de lycée à cette époque.
Nous étions en Mai et le soleil enchantait ces journées printanières. J’adorais ces journées pleine de lumière, je sortais de leur étui mes lunettes de soleil. J’avais revu ma garde robe préférant des tenus de jeunes femmes aux vêtements de petite fille que je portais jusque là. Je m’étais trouvé un joli débardeur qui mettait en valeur mon décolleté que j’aimais désormais afficher, je me sentais femme avant tout.
Ce jour là, je n’avais pas cours, mes parents travaillaient et j’avais un rendez vous d’auto école à 9h, mon moniteur passait me chercher à la maison. Levée à 7h30, je pris le temps de me préparer, petit déjeuner, douche fraiche, je choisis de m’habiller léger étant donné la chaleur déjà installée en cette belle matinée. Une belle jupe et mon débardeur feraient l’affaire.
A 9h00 comme prévu mon moniteur se présenta. Je pris place dans la voiture, il était plus craquant qu’à son habitude, lui aussi avait opté pour une tenue légère, bermuda et tee short blanc moulant faisant ressortir sa ligne svelte et musclée. Je me surpris à mater son torse bombé de jeune homme musclé. J’étais là à le contempler béatement quand je repris mes esprits et constata que non seulement il n’avait pas remarqué mes regards sur lui mais que lui attardait volontiers son regard dans mon décolleté.
Nous partîmes ainsi, émoustillé l’un l’autre, mais sans un mot ne sortant des habituelles consignes. Contrairement à d’habitude il me fit remarquer que le réservoir était quasiment vide et qu’avant la fin de la leçon nous devrons passer à la station service.
Le cours se déroula dans la monotonie habituelle, et il me dirigea vers la station. Je n’avais jamais fait le plein d’un véhicule, l’occasion était venue d’apprendre quelque chose de nouveau. Il m’expliqua comment prendre le pistolet, l’insérer dans le trou du réservoir. J’étais maladroite, mais ce jour là il me semble que j’en jouais. En effet, je fis mon ingénu, rentrant et sortant le pistolet du trou en demandant si c’était ainsi qu’il fallait l’insérer ? Plus j’insistais pour savoir si j’avais assimilé le geste plus je voyais le regard du moniteur s’allumer d’une lueur nouvelle. Moi-même jouant la provocation à ce jeu, je sentais des frissons dans mon ventre, mes entrailles chauffaient. Clairement une chaleur envahissait mon ventre descendant à mon entrejambe qui s’affolait.
Enfin nous finîmes de faire le plein et nous sommes remontés en voiture pour quitter la station et nous diriger vers la maison de mes parents.
Mon moniteur me déposa, il semblait gêné, il souriait en me disant au revoir.
Je me retrouvai chez moi, les entrailles affolées par cette expérience, bleuffée par ma propre indécence à avoir jouée ainsi les ingénues. Je sentais que ma culotte était trempée, à jouer à ce jeu j’avais mouillé comme une folle.
Je rejoignis ma chambre, laissa tombé ma jupe, je retirai ma culotte, elle était effectivement trempée. Je m’allongeai sur mon lit et posa mes mains d’abord sur mon ventre bouillant, puis elles descendirent sur mon mont de vénus tandis que mes doigts commencèrent à progresser entre mes lèvres dans l’ambiance humide de mon antre. Je continuais à me caresser en pensant à ce jeune homme si charmant. Il était beau, j’imaginais son torse, je visualisais ses abdos musclés, je l’imaginais viril et osait même fantasmer sur un beau sexe dressé, moi l’ingénue, je rêvais d’un homme en érection. Mes doigts continuaient leur œuvre entre mes lèvres faisant rouler sous la pulpe de mon index le gland du clitoris érigé par tant de pensées interdites. Je sentais mon ventre en ébullition, des contractions involontaires me tordaient, petit à petit je perdais pied, la pièce tournait autour de moi. Je crois que je criais lorsque mon corps défailli complètement.
Je ne sais pas combien de temps je restai ainsi dans cette brume de bien être. Je sorti de mon enchantement, le carillon sonnait 11h, la journée n’était pas finie, il me fallait encore travailler pour mes cours.
A continuer.
-
-
Commentaires
1ahmed_13au93Vendredi 5 Janvier 2018 à 12:59Tu as besoin d’un mâle pour te soulager de tes envies et plus
Vous devez être connecté pour commenter
-