• Le lendemain, j’avais à nouveau cours d’auto école, cette fois le moniteur venait me chercher à la sortie des cours et me ramenait à la maison à la fin de la leçon.

     

    Au lycée je m’interdisais les tenues légères, les garçons de mon âge avaient vite fait de classer les filles qui osaient les jupes courtes et les décolletés dans la catégorie « facile à emballer » et je ne voulais pas être ainsi catégorisée.

     

    J’étais donc habillée avec un jean classique et un tee short banal. Mon moniteur lui était dans une tenue sexy comme la veille. Son regard était très différent, il avait cette lueur dans les yeux que j’avais déclenché la veille avec mes jeux ingénus.

     

    Le cours commença et tout de suite la conversation pris une tournure inhabituelle.

    -          Je suis déçu que tu ne portes pas le joli débardeur que tu avais hier, il était vraiment craquant.

    -          Non, jamais lorsque je vais au lycée, les garçons de mon âge ont trop vite fait de se faire des idées.

    -          Pour une fille qui ne veut pas que les garçons se fassent des idées, ton petit jeu d’hier matin est surprenant !

     

    Je me mis à rougir de mon indécence de la veille, mon petit jeu avait bien évidemment été percé à blanc, vite je devais trouver une réponse.

    -          Vous n’êtes pas un garçon de mon âge.

    -          Et donc ça ne te dérange pas que ton moniteur d’auto école puisse se faire des idées.

    -          C’est différent.

    -          Comment ça ?

     

    J’étais prise à mon propre piège, la conversation m’encerclait, il voulait me faire dire ce que je n’étais pas sûr de vouloir faire entendre. Je rougissais tellement, je tremblotais, mon antre bouillait, mon corps répondait aux questions auxquelles je ne voulais pas donner de réponses.

    -          Disons que vous êtes un homme séduisant.

    -          Je dois dire que tu es non seulement une jeune fille pleine de charme, mais ton numéro d’hier m’a affolé.

    -          Je me suis moi-même auto affolée ….

     

    Comment et pourquoi ai-je dit ça ???

    -          Hein, que veux tu dire par là ?

    -          Non j’en ai trop dit.

     

    Pendant quelques kilomètres le silence se fit lourd dans la voiture alors que mon corps bouillait. Lors d’un arrêt à un feu rouge je posai malgré moi mon regard vers lui, ces yeux en disaient long, mon regard descendit sur son torse et inconsciemment se posa sur son entre jambe qui visiblement était gonflée. Je prenais peur tout en étant poussée par une force surhumaine qui me faisait bouillir de l’intérieur. Déjà je sentais l’humidité envahir mon entre jambe, mon corps s’enflammait.

    -          Tourne à gauche au prochain feu et stationne toi devant le café, nous faisons une halte.

    -          Vous m’inviter boire un verre.

    -          Nous pouvons discuter un peu, qu’en penses-tu ?

     

    Nous nous sommes arrêtés, nous avons partagé un verre dans un silence profond, mais nos regards plongèrent l’un dans l’autre et notre désir s’exprimait tout entier par nos corps.

     

    Nous sommes reparti et arrivé devant la maison de mes parents je ne peux toujours pas m’expliquer comment j’ai pu le lui dire, suit moi. Je claquais la porte au nez à la petite fille que j’étais sous l’impulsion de mon corps qui s’enflammait littéralement. Je sentais mon antre brûlante et coulante et je ne contrôlais plus mes pensées, il n’y avait plus de place pour le raisonnable dans mon esprit.

     

    Mes parents rentraient tard de leur travail et j’avais la maison pour moi pour la soirée. Nous sommes rentrés et immédiatement nous avons fondu l’un sur l’autre nos bouches se joignant pour un interminable baiser.

     

    Puis je lui pris la main et l’entraina dans ma chambre. Je le contemplais, il était beau garçon, le corps svelte, son regard noir profond.

     

    Il commença à me peloter les seins, j’adorais ses caresses convenablement dosées, il ne m’écrasait pas la poitrine comme le faisait l’un de mes ex à l’époque, non il prenait soin de souligner la courbure de mon sein et jouait en cercle concentrique jusqu’à approcher de mon téton qui se faisait de plus en plus dur sous son traitement.

     

    Perdant totalement le contrôle je me mis à lui peloter les fesses puis mes mains se firent plus coquines venant caresser à travers le tissu son sexe qui déjà arborait une fière érection.

     

    J’allais passer une frontière inconnue jusque là, mais j’avais déjà été trop loin et il n’était plus question de reculer. Je me fis coquine déboutonnant son bermuda. Quelle fut ma surprise de découvrir qu’il ne portait rien d’autre, lorsque celui-ci tomba au sol j’étais face à son sexe tendu. Je me mis à le caresser, son gland brillait, il était trempé de désir.

     

    Suite - Ma première fois

     

    Des frissons me parcouraient le corps lorsqu’il retira mon tee short puis avec doigté mon soutien gorge. Mes seins offerts à son regard, il les baisa, lécha avec rigueur mes tétons durcis. Alors que sa bouche s’afférait sur mes seins avec passion, il déboutonnait mon jean qui glissait et ma culotte ne resta pas longtemps en place que déjà sa main posée entre mes jambes, son index découvrait mes entrailles mouillées comme jamais. Ces caresses avaient raison de toute conscience en moi. J’exultais littéralement de plaisir.

     

    Suite - Ma première fois

     

    Je ne sais pas comment je m’écroulai sur le lit, je ne me souviens plus comment son sexe se retrouva enveloppé d’un préservatif tellement les choses se sont déroulées dans un brouillard de plaisir. J’étais allongée sur le lit et il s’approcha de moi, écarta mes jambes posant ses baisers sur mon nombril puis sur mes lèvres mouillées … Et là il me pénétra, se fut d’abord une intense douleur qui me sorti de ma torpeur de plaisir, j’avais perdu le fil du bien être.

     

    Puis ces va et viens doux me firent retrouver le chemin brumeux des frissons de bien être. Il avait une belle bite qui me remplissait mes entrailles, tout cela glissait à merveille en moi étant donné l’état dans lequel j’étais. Il continuait ses vas et vient et je me sentais bien.

     

    Tout à coup il se crispa, je sentis que tout son corps se figeait, il gémit. Il se retira, nous échangeâmes de chauds baisers. Nous restâmes longtemps enlacés l’un avec l’autre, j’étais femme et j’assumais pleinement cette nouvelle vie.

     

    Au bout d’un moment je lui expliquai que mes parents ne tarderaient plus et qu’il devait repartir. Nous nous sommes rhabillés, nous nous sommes embrassé et puis il reparti.

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  • Je me lance dans le difficile exercice de l’écriture, je demande donc votre bienveillance et votre compréhension. Vos critiques cordiales et sincères me feront progresser dans cet exercice.

    Ma première fois.

    Je vivais paisiblement chez mes parents une vie tranquille, je sortais peu, j’avais bien échangé quelques baisers avec différents petits copains au cours de courtes relations mais je n’avais encore jamais connu le grand frisson.

    Cette année là mes parents m’avaient inscrite pour faire la conduite accompagnée à des cours d’auto école.

    Mon moniteur, un jeune homme qui venait d’avoir son diplôme était vraiment séduisant. J’adorais son regard sombre et profond. Mais je ne pensais pas à ça, mon esprit était plus préoccupé par mes cours de lycée à cette époque.

    Nous étions en Mai et le soleil enchantait ces journées printanières. J’adorais ces journées pleine de lumière, je sortais de leur étui mes lunettes de soleil. J’avais revu ma garde robe préférant des tenus de jeunes femmes aux vêtements de petite fille que je portais jusque là. Je m’étais trouvé un joli débardeur qui mettait en valeur mon décolleté que j’aimais désormais afficher, je me sentais femme avant tout.

    Ce jour là, je n’avais pas cours, mes parents travaillaient et  j’avais un rendez vous d’auto école à 9h, mon moniteur passait me chercher à la maison. Levée à 7h30, je pris le temps de me préparer, petit déjeuner, douche fraiche, je choisis de m’habiller léger étant donné la chaleur déjà installée en cette belle matinée. Une belle jupe et mon débardeur feraient l’affaire.

    A 9h00 comme prévu mon moniteur se présenta. Je pris place dans la voiture, il était plus craquant qu’à son habitude, lui aussi avait opté pour une tenue légère, bermuda et tee short blanc moulant faisant ressortir sa ligne svelte et musclée. Je me surpris à mater son torse bombé de jeune homme musclé. J’étais là à le contempler béatement quand je repris mes esprits et constata que non seulement il n’avait pas remarqué mes regards sur lui mais que lui attardait volontiers son regard dans mon décolleté.

    Nous partîmes ainsi, émoustillé l’un l’autre, mais sans un mot ne sortant des habituelles consignes. Contrairement à d’habitude il me fit remarquer que le réservoir était quasiment vide et qu’avant la fin de la leçon nous devrons passer à la station service.

    Le cours se déroula dans la monotonie habituelle, et il me dirigea vers la station. Je n’avais jamais fait le plein d’un véhicule, l’occasion était venue d’apprendre quelque chose de nouveau. Il m’expliqua comment prendre le pistolet, l’insérer dans le trou du réservoir. J’étais maladroite, mais ce jour là il me semble que j’en jouais. En effet, je fis mon ingénu, rentrant et sortant le pistolet du trou en demandant si c’était ainsi qu’il fallait l’insérer ? Plus j’insistais pour savoir si j’avais assimilé le geste plus je voyais le regard du moniteur s’allumer d’une lueur nouvelle. Moi-même jouant la provocation à ce jeu, je sentais des frissons dans mon ventre, mes entrailles chauffaient. Clairement une chaleur envahissait mon ventre descendant à mon entrejambe qui s’affolait.

    Enfin nous finîmes de faire le plein et nous sommes remontés en voiture pour quitter la station et nous diriger vers la maison de mes parents.

    Mon moniteur me déposa, il semblait gêné, il souriait en me disant au revoir.

    Je me retrouvai chez moi, les entrailles affolées par cette expérience, bleuffée par ma propre indécence à avoir jouée ainsi les ingénues. Je sentais que ma culotte était trempée, à jouer à ce jeu j’avais mouillé comme une folle.

    Ma première fois

     

    Je rejoignis ma chambre, laissa tombé ma jupe, je retirai ma culotte, elle était effectivement trempée. Je m’allongeai sur mon lit et posa mes mains d’abord sur mon ventre bouillant, puis elles descendirent sur mon mont de vénus tandis que mes doigts commencèrent à progresser entre mes lèvres dans l’ambiance humide de mon antre. Je continuais à me caresser en pensant à ce jeune homme si charmant. Il était beau, j’imaginais son torse, je visualisais ses abdos musclés, je l’imaginais viril et osait même fantasmer sur un beau sexe dressé, moi l’ingénue, je rêvais d’un homme en érection. Mes doigts continuaient leur œuvre entre mes lèvres faisant rouler sous la pulpe de mon index le gland du clitoris érigé par tant de pensées interdites. Je sentais mon ventre en ébullition, des contractions involontaires me tordaient, petit à petit je perdais pied, la pièce tournait autour de moi. Je crois que je criais lorsque mon corps défailli complètement.

    Ma première fois

    Je ne sais pas combien de temps je restai ainsi dans cette brume de bien être. Je sorti de mon enchantement, le carillon sonnait 11h, la journée n’était pas finie, il me fallait encore travailler pour mes cours.

    A continuer.

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